Il faut crever l'obscène

17 décembre 2025

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Il faut crever l'obscène

Après la mise à mort décidée par l'Etat français de centaines de bovins sur des exploitations agricoles, pour lesquels il a cru opportun d'envoyer des centaines de CRS appuyés par un hélicoptère et des blindés contre des agriculteurs en colère, les Français et plus particulièrement nos paysans, sont consternés, dégoutés, écoeurés.

Comment va se terminer ce « dépeuplement » voulu par des oligarques travaillant aux antipodes des intérêts des citoyens ?

Quel est le but?

Allons-nous vers une aliénation totale de nos ressources? Les intentions cachées derrière ces décisions monstrueuses semblent malheureusement le confirmer.

Aucune loi, aucun décret, aucun amendement, aucune directive ne va en faveur du peuple français. L'idée finale ne serait-elle pas de mettre à disposition de groupes comme BlackRock ou Vanguard, fameux fonds de placements américains, nos terres agricoles, afin d'en détourner la destination et ainsi affamer les populations?

Nous sommes en droit de nous poser très sérieusement la question.

Où se trouve la bienveillance politique?

Où se trouve la bienveillance politique? Où se trouve la volonté de construire du bonheur pour les Français? Seuls n'existent aujourd'hui que la répression, l'oppression, la restriction, la pénalisation et les sanctions. La malveillance et la malfaisance de nos « élites » n'auraient-elles d'autre but que de servir des intérêts supérieurs désireux de réduire en servitude un peuple trop agité pour elles?

L'oppression du très haut sur le très bas avec entre les deux un vide cosmique, à des années lumière de la compréhension de la misère en expansion de plus en plus de Français, n'est plus à prouver. La macronie n'aura eu de cesse de produire de la pauvreté en saccageant les outils de production. Pire: elle nous a vendu.

Une résistance parallèle devrait-t'elle s'organiser?

Face à la domination totale des organismes supra-nationaux sur l'esprit des individus, les politiques nationales et l'euro numérique qui arrive à grand pas, nous pouvons imaginer que le salut des populations passera par l'élaboration d'une monnaie parallèle applicable à des systèmes d'économies locales. Plus clairement, une création de vrais-faux billets pour survivre face à la production de fausse-monnaie officielle qui nous endette. La faim justifiant les moyens. Nous en sommes à ce point de discussion tant la situation de la France est dégradée, et nous ne parlons pas seulement de celle de Fitch.

Une révolutionnaire résistance ou l'inverse?

Comme chacun le sait, toute résistance finie par une reprise en main d'un pays, à l'instar de nos courageux ancêtres. Mais comment démarre une révolution: par une étincelle? Une loi de trop? Un mépris exacerbé? Un mort? Jusqu'où le gouvernement saura-t'il ne pas aller trop loin? Car s'il est vrai que la majorité des Français est modérée, nos politiciens eux, du haut de leur arrogance, cachés derrière leur micro, sont violents et radicaux. Il est simple de penser que le peuple le devienne… A force de pousser les citoyens dans leurs retranchements, fatigués de se heurter à un mur, ils finiront par le démolir, avec pertes et fracas.

Doit-on en finir une bonne fois pour toute ?

Toute révolte couve avant qu'elle n'explose. Sans aucun discernement et sans une once d'empathie pour la France du travail, le régime finira par se retrouver non plus en difficulté, mais bien dans une énorme mauvaise passe dont il pourrait ne pas se relever, entrainant avec lui une présidence voire la République toute entière et sa constitution. Alors il ne sera plus temps d'enfermer les opposants pour donner l'illusion d'une autorité, mais bien de les libérer pour qu'enfin la France retrouve le statut qu'elle n'aurait jamais dû perdre: celui d'une grande Nation, libre. Oui, car il s'agit bien de l'honneur perdu de la France.

C'est sur les pentes du volcan, après l'éruption,
que se font les meilleures récoltes.

(merci à l'amical illustrateur pour son talent)