La situation de la France ne souffre aucune discussion: notre pays, notre douce France se meurt. Elle agonise sous les coups de boutoir répétés d'une multitude de responsables qui, de l'intérieur comme de l'extérieur, semblent s'être ligués pour saper les fondements de notre nation. Une « grande détestation » de notre héritage, de notre histoire et de nos modes de vie a infusé dans les esprits, notamment les plus faibles, sans qu'ils ne réalisent une évidence : sans le travail et le génie des Français, le système qui les nourrit s'effondrera.
Le terrorisme qui saigne la nation.
La menace est d'abord la plus violente, la plus sanglante. Le terrorisme islamiste continue de tuer des Français sur notre sol, transformant nos rues en champs de bataille et nos libertés en illusions. Chaque attentat est un coup de poignard porté au cœur de la République, une tentative délibérée d'abattre notre esprit par la terreur.
Le chef de l'État : entre renoncement et humiliation.
À la tête de l'État, un président incarne cette étrange défaite. Son quinquennat est un mélange étonnant de ventes des joyaux de notre patrimoine industriel, d'humiliations diplomatiques et de repentance systématique. Pire encore, le secret défense invoqué sur la gestion du Covid laisse planer l'ombre insupportable du mensonge d'État sur une période où les Français ont pourtant consenti des sacrifices immenses.
Les alliés qui nous convoitent.
Nos partenaires historiques ne sont pas en reste. Les Américains ont, dans l'ombre, caressé le projet funeste de l'AMGOT, un gouvernement militaire d'occupation, preuve que notre souveraineté n'a jamais été une évidence pour eux. Les Allemands, quant à eux, sous couvert de partenariat européen, n'ont de cesse de convoiter notre technologie de pointe, notre nucléaire, notre savoir-faire aérospatial, cherchant à asphyxier notre avantage compétitif.
L'ogre bruxellois et la trahison intérieure.
Au-dessus de nous, l'Union Européenne, incarnée par une Ursula von der Leyen toute-puissante, agit comme si elle disposait d'un pouvoir supranational. Elle obéit elle-même à des entités supérieures et non élues, imposant ses diktats écologiques et économiques, foulant au pied la volonté des peuples.
Et dans l'hexagone, la trahison est à l'œuvre. Le gouvernement, s'appuyant sur une situation financière calamiteuse créée par lui-même, y répond par une politique fiscale d'une violence inouïe qui achève les classes moyennes. Taxes, impôts, chasse aux « bagnoles », flambée orchestrée du prix de l'électricité : autant de mesures qui transforment la vie quotidienne en un calvaire économique.
Les faux prophètes de la gauche.
À l'extrême gauche, La France Insoumise (LFI) joue un jeu dangereux. Sous des dehors humanistes, elle favorise l'arrivée de ceux qui, dans d'autres cieux, sont les « coupeurs de têtes ». Elle défend l'autochtone partout... sauf en France, où son idéologie l'amène à diaboliser notre propre peuple et son histoire.
Le sabordage culturel et environnemental.
Les écologistes, aveuglés par leur dogme, contribuent à leur manière au saccage. Ils détruisent nos paysages avec des éoliennes industrielles, entravent notre agriculture et menacent notre sécurité énergétique, le tout au nom d'une urgence climatique qui justifierait tous les renoncements, alors même que ses causes sont loin d'être établies.
Une éducation nationale au rabais.
Enfin, le coup de grâce pourrait bien venir de là où se forge l'âme d'un pays : l'école. L'Éducation nationale a renoncé à enseigner la grandeur de notre histoire. Elle lui préfère une repentance organisée, un récit culpabilisant qui apprend à nos enfants à avoir honte de leur pays plutôt qu'à en être fiers.
Alors, qui veut la peau des Français ?
La réponse est terrifiante : tout le monde, ou presque. De l'ennemi extérieur à l'ennemi intérieur, en passant par les élites déconnectées, une coalition hétéroclite œuvre, activement ou par lâcheté, à la disparition de la France éternelle.
Prendrons-nous conscience du péril avant la fin du supplice ?