Il y a péril en la demeure
La situation de la France n’a jamais été aussi catastrophique depuis la fin des trente glorieuses. Le
Président de la République fustige, encore, d’hypothétiques « professionnels du malheur » face à
l’effondrement factuel du pays, mais bon nombre de Français ont compris qu’il est lui-même en réalité,
l’acteur principal de notre malheur.
Il a prédit la fin de l’abondance, il n’a pas avoué qu’elle se ferait à coup de matraque sur le dos de sa
population par le pillage de l’économie du pays. L’hyperinflation se profile, le rationnement énergétique
s’organise, les pénuries alimentaires et de médicaments voient le jour, la casse des services publics
poursuit son cours, le saccage social ne cesse plus, le matraquage fiscal est devenu vital pour les
sangsues de la République, l’inévitable récession économique aboutira à un énorme krach monétaire et
financier, etc.
Le prophète de malheur qu’est aujourd’hui Emmanuel Macron a fait de notre France millénaire une
« Start-Up Nation » au service d’un gouvernement mondialiste ultra-libéral détruisant méthodiquement
notre pays. Serait-il finalement programmé par une autorité supra-nationale pour le faire? Car les crimes
économiques qu’il a commis depuis son accession au poste de ministre de l’économie en août 2014 sont
légion: vente d’Alstom, démantèlement de la filière nucléaire, endettement du pays à outrance, pillage
d’EDF. Ce à quoi s’ajoutent notamment, les trahisons politiques par la fuite de nos données personnelles
vers les USA et le refus suicidaire de sortie du tarif régulé de l’électricité européen (l’ARENH), mettant
ainsi en danger la pérennité de notre indépendance dans tous les domaines. Même les courtiers en
métaux précieux de la place de Paris, nous parlent aujourd’hui d’inflation à deux chiffres, pendant que
d’éminents commentateurs de plateaux TV le contestent mordicus par soumission au narratif
gouvernemental. Sont-ils aveugles ou corrompus? L’indépendance de la presse, pilier de la démocratie,
est donc chaque jour un peu plus remise en question.
Mais aux ordres de qui est donc le Président de la République française? Depuis 2020, la stratégie du
chaos général semble s’être mise en place, par l’entremise de l’Union Européenne présidée par Ursula
Van Der Layen, elle-même corrompue et inféodée à des organisations telle que celle du Forum de
Davos, prétendant gouverner sans jamais n’avoir été élues par les peuples. Klauss Schwab se vantant
en effet sans cesse d’avoir infiltré plusieurs gouvernements de la planète grâce à ses « young leaders »,
Emmanuel Macron en faisant partie, serait bien aise maintenant de nous communiquer son degré de
soumission au programme du grand gourou: « Le great reset ».
Le passage en force de la réforme des retraites constituera très certainement un casus belli anti-social
qui renverra aux calendes grecques les manipulations arithmétiques et autres recommandations
d’interêts privés qui ne font que lorgner sur la manne du stock des cotisations du régime de retraite
complémentaire des salariés de l’AGIRC-ARRCO: 3200 milliards d’euros de stock et 90 milliards d’euros
de flux annuels. (source: Cercle national des économistes). Il est urgent de mettre fin à la
marchandisation de nos retraites.
Emmanuel Macron n’entend pas la foudre et le tonnerre qui grondent au sein de la population. Pourtant,
une seule question se pose aujourd’hui: les Français sont-ils d’accord pour continuer à entretenir une
classe d’Etat qui ruine la France avec leur propre argent?
« La seule solution, c’est de se débarrasser de toute cette classe »
Charles Gave (Institut des Libertés)